Vous cherchez à créer et tester des expressions régulières ( Regexp ) dans vos langages favoris. Sur le Web il existe plusieurs solutions (toutes en Anglais) ...
Pour ma part, j'en ai retenu trois qui sorte du lot ...
Article mis à jour le 13 mai : ajout d'un troisième outils
Oracle à décidé de tué les applets Java en les dépréciant à partir de Java 9. Dans le JEP 289, il y est indiqué que les navigateurs web ayant commencé à supprimer le support des plugins Java ...
C’est une mauvaise nouvelle dans le mode Java pour ceux qui utilisent RoboVM pour écrire en Java des applications pour IOS. Microsoft a décidé d’arrêter RobotVM pour Java, préférant se focaliser sur C#!
Il vous reste plus qu’à vous faire rembourser et à réfléchir à une solution alternative. Merci Microsoft ;-(
Voici quelques informations non exhaustive EclipseCon 2016
Annonce de « Eclipse Che » l’espace de travail universel depuis le Web :
SAP annonce un nouveau IDE Web « Hana » basé sur Che.
L’intégration de Microsoft dans l’équipe « Team Foundation »
itération de Red Hat avec sa solution OpenShift
le support d’IBM dans la collaboration avec Eclipse Orion et Eclipse Che
Microsoft rejoint la Fondation Eclipse en tant que « Solution member »
Quelques annonces sur l’IoT (Internet des objets)
Microsoft annonce sa contribution à Eclipse Kura. Kura est un framework Java basé sur OSGi pour des portails IoT.
Il fonctionne sur Raspberry PI, BeagleBone Black en permettant l’accès au matériel sous-jacent (portes série, GPS, chien de garde, GPIO, I2C, etc.), ainsi qu’a la gestion des configurations réseau…
MicroEJ est le « leadership » dans le projet Eclipse Edje. MicroEJ c’est une solution de création d’applications embarquées intelligentes et elle permet de les déployer partout, et sur tout dispositif.
Je vous convie à aller voter pour l’implémentation d’une future fonctionnalité de Java 9 : « JEP 286: Local-Variable Type Inference ».
Cette spécification définie la possibilités d’utiliser ‘var’ ou ‘let’ ou un autre mot clé pour remplacer le type d’une variable quand ce dernier est explicite.
Par exemple le code suivant :
ArrayList<String> list = new ArrayList<String>();
Stream<String> stream = list.stream();
pourrait être écrit sous la forme :
var list = new ArrayList<String>();
var stream = list.stream();
C’est moins verbeux, et plus simple à lire 😉
Attention, les codes suivants donneraient des erreurs de compilation, car le type est indéterminable (en commentaire j’ai mis le message du compilateur Java) :
var x; // (cannot use 'val' on variable without initializer)
var f = () -> { }; //(lambda expression needs an explicit target-type)
var g = null; //(variable initializer is 'null')
var c = l(); //(inferred type is non denotable)
var m = this::l; //(method reference needs an explicit target-type)
var k = { 1 , 2 }; //(array initializer needs an explicit target-type)
Dans l’article suivant « Faut-il encore adopter Java pour un client lourd ? » L’auteur semble ne serait ce que par sa question à insinuer que Java n’est plus fait pour créer des applications lourdes à cause sont API pour d’interface graphique vieillissante.
Pour ma part, ayant des clients dans des milieux complètement divers et développant à 80% en Java, je ne peux être d’accord.
Pour faciliter la vie des utilisateurs, je suis régulièrement amené à créer des clients lourds (mot mal choisi, car les applications sont légères au sens des fonctionnalités) en Java Swing et maintenant en Java FX.
Le cas des tablettes et smartphones
De plus l’utilisation des smartphone et tablette si elle c’est généralisé, ne remplace nullement un PC avec sont grand écran (comparer la taille d’affichage d’un écran 22 pouces avec un petit de 6,7,10,12 pouces) sa souris, son espace de stockage sa puissance et son extensibilité …
De ce fait en entreprise l’usage d’un ordinateur est toujours d’actualité et irremplaçable (les petits périphériques, sont bien petits 😉 et les développements pour ces tablettes dans leur intégration dans l’entreprise est minimes.
Une des raisons de ce manque de développement pour les tablettes (hormis les nouveaux services au public) est due à la difficulté de développement pour ces outils ainsi qu’au blocage des éditeurs à qui appartiennent ces systèmes (Apple, Google) :
il vous vaut un compte chez eux. Certes pas si onéreux (envieront 150 €), mais à renouveler régulièrement, en anglais et le paiement bien s’il s’adresse à un Français, est facturé à l’étrange dans un pays ou les impôts sont minime (Ca n’aide pas notre économie)
Passer par une phase de validation chez eux. Temps à rajouter au développement.
Des règles commerciales à accepter (pas le droit de …, prix), et oui vous n’êtes plus le maitre des fonctionnalités.
Avoir le bon matériel (un Mac pour Apple). Grosso modo vous payez une grosse licence pour développer …
Et par expérience, le développement est pénible. Vous compilez sur un PC/Mac, puis on lance sur un émulateur, ce qui génère des temps d’attentes, d’énervements …
Le cas des ordinateurs (Windows, Linux, Mac)
Les PC (Windows, Linux, Mac …) sont la cible préférée de Java.
Pour les services Web, Java EE est tout désigné. Son problème est qu’il utilise beaucoup de ressources à cause des frameworks. Pour info si vous voulez faire des micros services, je vous conseille de regarder les Servlets purs s(pas besoin d’EJB)
Pour les clients lourds, ce que l’on peut appeler des « Applications » il existe 3 solutions pour faire une interface graphique :
AWT : ville API pour créer des interfaces, n’est pratiquement plus utilisé de nos jours. Il faut remonter à Visual Age for Java pour trouver un AGL permettant de créer des interfaces en WYSIGWIG.
Swing : API très en vogue dans les années 2002-2012 proposant une multitude de composants. Des outils visuels WYSIGWIG existent pour générer des interfaces graphiques à la main.
Java FX : la dernière API d’interface graphique qu’Oracle à implémenter dans Java 7, mais qui prend sont envole dans Java 8. Oracle fournit en standard un outil Visuel WYSIGWIG « Scene builder » (qui s’intègre dans Eclipse) pour les interfaces graphiques.
Sont adoptions n’est pas si grande dans l’industrie. Car récente, nécessite Java 8 et les développeurs Java FX ne sont pas si nombreux.
Actuellement l’industrie préfère tous misé sur des services Web, car il maitrise mieux l’intégration (une seule machine serveur à gérer, contre plusieurs pour les clients lourds).
Mais dans le cas ou il faut une application à part entière Java FX est très bonne réponse, sinon Swing l’est aussi à défaut. Java FX permet de créer des applications « client lourdes » complètes et portables (Mac, Windows, Linux) en utilisant le système d’exploitation qui vous plaît !
En conclusion
Chaque cible (PC, tablette) à ses outils bien a lui.
Faire une analogie de Java avec les tablettes est mal choisie, car ce n’est pas sa cible première (même si des solutions existent « Robot VM » pour convertit du code Java FX pour tablettes ) .
Mais par expérience Java FX permet de créer des applications « client lourd » complètes et portables (Mac, Windows, Linux) sans se soucier des spécificités de chaque système.
Le gestionnaire de source GitHub est un dépôt Git sur le Web. Pour une société privée, cela pose un problème lorsqu’elle travaille sur des sources confidentielles. Rien ne vous protège contre un accès illégal (un mot de passe ce vole). Le mieux est de l’héberger sur son réseau privé, ou sur ses serveurs.
Le logiceil Open Source Gitblit répond à ce besoin.
Cella fait maintenant quelques années je l’utilise depuis Eclipse et que je l’apprécie.
Gitblit est une servlet Java de dépôt Git sous licence Apache 2.0 et open source (Java v7 + ).
Il nécessite un serveur de Servlet v2.5 ou v3 tel que Tomcat v6/7, Jetty v6/7/8, ou autre.
Si vous n’avez pas ce genre de serveur, il existe Gitblit Go un « tout en un » qui contient le serveur de servlet (Jetty) et GitBlit installé pour Window ou Linux ou OSX
Quelques fonctionnalités de Gitblit :
interface Web
Localisation dans plusieurs langues, dont l’Anglais, le Français, l’Espagnole, l’Allemand, le Japonais…
Dépôt Git (pull,push, RWD+ …)
gestion de dépôt
des statistiques d’usage
gestion de compte
recherche plein-TEXT
support le connecteur SSL, HTTPS et GIT
des plug-ins pour :
LDAP
Redmin
SalesForce
authentification Windpws
authentification PAM
flux RSS
JSON RPC pour intégration
une API java RSS/JSON API pour intégration dans vos applications
stratégie de sauvegarde et d’agrégation de dépôt GIT
Les mises à jour de Java que propose Oracle sont notées « CPU » ou « PSU ».
Ce qui correspond à une partie du numéro de version. Par exemple dans le numéro suivant « Java SE 7u56 » :
« Java SE » est le type de version (ici la version JVM pour tous)
7 est la version de Java, actuellement nous somme en version 8 (le 07/10/2015)
56 est le numéro de la mise à jour de type « PSU » car numéro pair
Les mises à jour « CPU »
Elles correspondent à des rectificatifs de sécurité et sont donc grandement conseillées par Oracle.
Le numéro de version correspondant est toujours impair.
Ces mises à jour sont publiées le mardi le plus proche du 17e jour d’un des mois suivant janvier, avril, juillet et octobre d’après le calendrier Oracle.
En résumé, si Oracle veut sortir une mise à jour de sécurité « CPU » sur une version « 7u56 », ils lui attribueront le numéro « 7u57 ». Si un deuxième rectificatif critique doit sortir, il aura le numéro « 7u59 », s’il y a eu zéro ou au plus 1 mise à jour « PSU ».
les mises à jour « PSU »
Elles correspondent à des rectificatifs de Bug et sont à mettre à jour que si un des bogues rectifiés impact vos logiciels.
Le numéro de version correspondant est toujours pair.
La liste des modifications se trouve dans la note « release notes »
En résumé, si Oracle veut sortir un rectificatif de bogue « PSU » sur une version « 7u56 », la mise à jour correspondante aura le numéro « 7u58 »
Plus d’informations
Vous trouverez plus de détail sur l’article Oracle suivant :